26 septembre 2004
La grande expédition
Après une bonne nuit réparatrice, on décide avec Fred, comme c'est dimanche et qu'il est dispo, d'aller se faire une rando, histoire de bien se mettre dans le bain. Il bossera le reste de la semaine donc ce sera plus trop possible. Comme on est pas des tafiolles, on décide de s'attaquer aux chutes Moreau -- sais pas si y a un rapport avec le docteur ;-) -- , une des randos les plus dures de l'île.
On démarre un peut tard -- il est déjà 13h30 -- , le temps de se préparer et de se trouver à manger, mais on finit par arriver sur le site. Un panneau rassurant nous accueille à l'entrée du chemin.
Panneau rassurant qui nous accueille à l'entrée du chemin
Confiance. On commence à marcher. On pique nique...
Fred mange
Il fait très chaud et on est obligé de bien taper dans nos réserves d'eau qui commencent à baisser dangereusement, mais ça ne nous empêche pas de rester extatiques devant les merveilles de la nature.
Fred est extatique
Je suis extatique
Les merveilles de la nature
Le chemin de rando
Comme on est parti super à la bourre et qu'on a déjà pas mal marché, on décide de ne pas prendre le risque de monter jusqu'au chute et de se faire prendre par la nuit. On s'arrête donc lorsque l'on croise le premier gros cours d'eau accessible et on décide de se baigner : fraîche mais agréable après toute cette chaleur.
Petit coin de fraîcheur dans une chaleur de brute
Après s'être bien détendu dans l'eau fraîche et avoir profité de ce moment de calme et de volupté, nous redescendons tranquillement vers la K. Quelques deux heures plus tard, nous arrivons à la voiture et décidons d'aller boire une bière tant attendue à Goyave, la petite ville -- et quand je dis petite, je dis petite -- la plus proche.
Quelques dizaines de piqûres de moustique et deux bières plus tard, on décide de rentrer. Il commence à faire faim.
Douche. Petite bouffe arrosée d'une bouteille de Corbières. Entre la marche et le soleil toute la journée, le vin commence à bien taper. On se met à refaire le monde et on se couche finalement assez tard, sachant que Fred n'a pas préparé ses cours pour le lendemain et qu'il va me lever à 4 heures du mat'... si si... je vous jure. Et on appelle ça des vacances.
On démarre un peut tard -- il est déjà 13h30 -- , le temps de se préparer et de se trouver à manger, mais on finit par arriver sur le site. Un panneau rassurant nous accueille à l'entrée du chemin.
Panneau rassurant qui nous accueille à l'entrée du chemin
Confiance. On commence à marcher. On pique nique...
Fred mange
Il fait très chaud et on est obligé de bien taper dans nos réserves d'eau qui commencent à baisser dangereusement, mais ça ne nous empêche pas de rester extatiques devant les merveilles de la nature.
Fred est extatique
Je suis extatique
Les merveilles de la nature
Le chemin de rando
Comme on est parti super à la bourre et qu'on a déjà pas mal marché, on décide de ne pas prendre le risque de monter jusqu'au chute et de se faire prendre par la nuit. On s'arrête donc lorsque l'on croise le premier gros cours d'eau accessible et on décide de se baigner : fraîche mais agréable après toute cette chaleur.
Petit coin de fraîcheur dans une chaleur de brute
Après s'être bien détendu dans l'eau fraîche et avoir profité de ce moment de calme et de volupté, nous redescendons tranquillement vers la K. Quelques deux heures plus tard, nous arrivons à la voiture et décidons d'aller boire une bière tant attendue à Goyave, la petite ville -- et quand je dis petite, je dis petite -- la plus proche.
Quelques dizaines de piqûres de moustique et deux bières plus tard, on décide de rentrer. Il commence à faire faim.
Douche. Petite bouffe arrosée d'une bouteille de Corbières. Entre la marche et le soleil toute la journée, le vin commence à bien taper. On se met à refaire le monde et on se couche finalement assez tard, sachant que Fred n'a pas préparé ses cours pour le lendemain et qu'il va me lever à 4 heures du mat'... si si... je vous jure. Et on appelle ça des vacances.
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